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En été il y a : La gentiane jaune, la digitale pourpre, le myosotis, l’arnica des montagnes, la…
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En été il y a : La gentiane jaune, la digitale pourpre, le myosotis, l’arnica des montagnes, la…
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Vous pouvez observer autour du signal du Luguet et sur le reste de la commune des buses, des faucons…
Une race qu’on peut voir très souvent sur les hauteurs pendant la période estivale. Elle est remarquable par sa belle robe de couleur acajou et ses cornes en forme de lyre. C’est un bovin de grande taille, de poids moyen de 680 Kg et une race qui est apte à la fois à produire du lait et de la viande de qualité. Son lait est transformé en fromages régionaux, notamment le Cantal et le Salers.
Une race bovine française originaire du plateau de l’Aubrac, au sud du Massif central. C’est une vache de taille moyenne avec une robe fauve, des cornes en lyre et un joli « maquillage » autour de ses yeux. Autrefois utilisée pour le travail, aujourd’hui c’est une race allaitante destinée à produire de la viande. Elle est appréciée notamment pour sa rusticité et ses qualités maternelles.
Une race rustique originaire du Limousin, elle est principalement utilisée pour la production de viande. Une vache de grand format, très souvent croisée avec des races locales ou laitières pour améliorer la conformation de leurs veaux. Elle a une robe froment avec des cornes en croissant ou en pointes redressées.
Originaire de la région de Charolles en Bourgogne, c’est une race notée pour sa croissance et sa prise de poids rapide. Elle est vouée principalement à la production de viande mais aussi très souvent utilisée en croisement avec des races laitières ou locales. Elle a une robe blanche ou parfois crème et des cornes courtes. La charolaise est une race rustique, qui est capable de s’adapter à des milieux très différents.
Une race originaire du Puy-de-Dôme, elle a failli disparaître. Heureusement elle bénéficie d’un regain d’intérêt depuis la fin des années 1970. Elle a la peau claire, la couleur pie rouge ou noire et les cornes en lyre comme la Salers. Elle est aujourd’hui utilisée comme vache laitière ou allaitante et a été longtemps utilisée comme animal de trait.
Les chamois qui avaient disparu du massif central il y a des milliers d’années, ont été réintroduits dans la montagne cantalienne en 1978. A l’initiative de la Fédération départementale de la Chasse, une quarantaine d’animaux, amenés des Vosges, ont été lâchés dans la vallée du Falgoux.
Les animaux se sont particulièrement bien adaptés à cet environnement, puisque on compte aujourd’hui près de 800 individus qui vivent dans le massif.
De nombreuses individus vivent aujourd"hui dans le Massif du Sancy, dans le Puy de Dôme ou encore dans les Gorges de la Rhue , de l’Alagnon et dans la vallée du Brezon dans le Cantal.
Le chamois (Rupicapra rupicapra) est une espèce de mammifères de la famille des Bovidés et de la sous-famille des Caprinés.On les reconnaît à leurs cornes foncées, en forme de crochets, à la bande sombre qui va du bout de leur museau à la base de l’oreille et le long de leur dos.
Les chamois qui vivent entre 800 et 3000 mètres, se déplacent au gré des saisons entre la haute montagne et les forêts d’altitude.
Ils aiment les plantes herbacées qu’ils trouvent dans leurs biotopes., ils peuvent aussi manger du feuillage, des arbustes, voire des baies.
Les chamois partagent la montagne avec les troupeaux, vivant en harde, suivant une organisation matriarcale qui régit la chevraie. La femelle, appelée chèvre, quitte la harde en juin, pour aller s’isoler et mettre au monde un cabri, appelé aussi chevreau, qu’elle élèvera jusqu’à l’âge d’un an.
L’éterlou est un chevreau mâle d’une année, qui vit encore avec sa mère, tout comme l’éterle, la femelle d’un an. Les mâles, le reste du temps à l’écart, rejoignent les hardes de femelles qui allaitent et élèvent les jeunes au moment de la reproduction.
Le temps de gestation est de 24 à 25 semaines, et la mise bas a lieu en fin mai, début juin.
La réintroduction du chamois dans le Cantal a été un succès et aujourd’hui sa présence fait l’objet d’une régulation.
Vous pourrez observer les marmottes à Anzat, si vous êtes chanceux ! Ce petit animal vit en colonie et hiberne d’octobre à mars/avril, il est doté de longues dents, sans doute son meilleur atout pour se protéger des prédateurs. La meilleure période pour pouvoir voir les marmottes, reste le printemps-été. Pour bien les observer nous vous conseillons de venir avec des jumelles et de rester très silencieux : les marmottes sont peureuses et à la moindre alerte, elles n’hésiteront pas à rentrer dans leur terrier !